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mardi 22 novembre 2016

'Con el alba: El Cuaderno de Francia', el manuscrito inédito de Valle-Inclán

http://www.europapress.es/galicia/noticia-alba-cuaderno-francia-manuscrito-inedito-valle-inclan-2

Este cuaderno inédito, propiedad de la familia, recoge las notas que tomaba el autor para luego escribir sus relatos; evidentemente tiene un carácter intimista.
En la publicación de Margarita santos se incluye una edición facsimil de dicho cuaderno.

http://www.abc.es/cultura/libros/abci-manuscrito-inedito-documenta-cara-inedita-valle-inclan-201606220934_noticia.html

D'autres études sur UN JOUR DE GUERRE VU DES ÉTOILES.


Resultado de imagen de le jour de guerre vu des etoiles

Referencias bibliográficas López-Casanova, A. (2000): “Valle-Inclán en Francia: un día de guerra”, en Santos Zas, M. (ed.): Valle-Inclán (1898-1998): Escenarios. Santiago de Compostela: Universidade de Santiago de Compostela.

Villanueva, D. (1991): “La media noche de Valle-Inclán: análisis y suerte de su técnica narrativa”, en El polen de las ideas. Barcelona, PPU.

dimanche 20 novembre 2016

Conferencia sobre Valle corresponsal de guerra

El viernes 18 de noviembre la directora de la cátedra de Valle Inclán de la USC dió una conferencia en nuestro centro sobre la estancia del escritor en el frente de guerra en 1916 cuando ejerció de corresponsal.
Al finalizar su exposición se acercó a ver las capturas de pantalla que hay expuestas de mi blog Valle Inclán , reporter de la Grande Guerre.
Agradezco sus palabras tan positivas sobre este trabajo.

Darío Villanueva

El 18 de octubre D. Darío Villanueva ofreció una conferencia en la que se refirió a esta faceta bastante desconocida del ilustre escritor.
Al finalizar accedió amablemente a posar delante de la exposición sobre el trabajo "Valle , corresponsal en la Gran Guerra" y tuvo unas palabras sobre ste trabajo muy amables.

jeudi 17 novembre 2016

VALLE ET LES POILUS


Valle-Inclán , al que los poilus confundieron en una ocasión, por su manquedad y atuendo, con el popular general Goureaud en su visita a un aeródromo, convivió durante dos días con los aviadores franceses. Al término, según las palabras del también corresponsal Corpus Barga “no pudo negar que había volado sobre el campo de batalla”. Esta experiencia aeronáutica tuvo capital importancia como catalizadora para la construcción de la obra, pues Valle-Inclán le confesaría poco antes de partir para Madrid que “el vuelo de noche ha sido una revelación… Será el punto de vista de mi novela, la visión estelar”. Lo confirma en carta de junio de 1916 a un amigo: “Yo he volado sobre las trincheras alemanas, y jamás he sentido una impresión que iguale a esta en fuerza y belleza”. (Darío Villanueva)

jeudi 6 octobre 2016

In Flanders Fields by John McCrae (May 1915)

Qui était John McCrae?
Nommé chirurgien au sein de la première brigade de l'Artillerie canadienne, avec le grade de major et de commandant adjoint.
Peu avant son départ, il écrivit ce qui suit à un ami :
Tout cela est vraiment terrible, et j'y vais parce que je pense que tout célibataire, particulièrement s'il a l'expérience de la guerre, se doit de participer. J'ai plutôt peur, mais j'aurais davantage peur de ma conscience si je restais ici.(Prescott. In Flanders Fields: The Story of John McCrae, p. 77) (traduction)
Il a emmené avec lui un cheval nommé Bonfire, un cadeau d'un ami. Plus tard, John McCrae a envoyé à ses jeunes neveux et nièces des lettres qu'il prétendait être écrites par Bonfire et signées avec l'empreinte d'un sabot.
En avril 1915, John McCrae s'est retrouvé dans les tranchées d'Ypres, en Belgique, la région traditionnellement appelée la Flandre qui fut la scène de certains des combats les plus sanglants de la Première Guerre mondiale, soit la deuxième bataille d'Ypres.
Le 22 avril, les Allemands utilisèrent le chlore mortel contre les troupes alliées dans une tentative désespérée pour dénouer l'impasse. Malgré les effets débilitants du gaz, les soldats canadiens ont combattu sans relâche et ont pu tenir bon pendant 16 autres jours.
John McCrae a soigné dans les tranchées, des centaines de soldats blessés chaque jour. Il était entouré de morts ou de mourants. Dans une lettre à sa mère, il écrivit ce qui suit au sujet de la bataille d'Ypres.
J'ai l'impression de vivre un cauchemar. Les combats sont horribles. Pendant 17 jours et 17 nuits, aucun d'entre nous n'a pu changer de vêtements, ni même enlever ses bottes, si ce n'est qu'à l'occasion. Pendant tout ce temps où je n'ai pas dormi, le bruit des fusils et des mitrailleuses n'a jamais cessé, si ce n'est que durant 60 secondes (...) et comme toile de fond permanente, il y a la vue des morts, des blessés, des mutilés et la terrible angoisse que la ligne cède.(Prescott. In Flanders Fields: The Story of John McCrae, p. 98) (traduction)
La veille de la composition de son illustre poème, il perdit au cours des combats un de ses meilleurs amis qui fut inhumé dans une tombe de fortune marquée d'une simple croix de bois. Les coquelicots sauvages commençaient déjà à fleurir à travers les croix de bois placées sur les tombes. Incapable de porter secours à cet ami ni à aucun autre soldat tombé au champ, John McCrae se fit leur porte-parole dans son poème. Ce fut l'avant-dernier poème qu'il écrivit.
( continuez à lire sur...  Anciens Combattants Canada )

mardi 4 octobre 2016

Pourquoi le COQUELICOT comme symbole ? 2

Le coquelicot, symbole de la guerre 14/18.

Le premier coquelicot du jour du Souvenir, 1921 - CWM AN19720228-001
Le premier coquelicot du jour du Souvenir
L'adoption du coquelicot en tant que symbole du Souvenir a des origines internationales. La première personne à l'utiliser de cette façon fut Mme Michael, membre du personnel du American Overseas YMCA, au cours de la dernière année de la guerre. Mme Michael lu le poème de John McCrae et en fut si touchée qu'elle composa également un poème en guise de réponse. Comme elle le précisa plus tard : «Dans un moment fort de résolution, j'ai pris l'engagement de garder la foi et de toujours porter un coquelicot rouge des champs de Flandre comme symbole du Souvenir afin de servir d'emblème et de «Garder la foi avec toutes les personnes décédée».
Par la suite, en avril 1920, elle a mené avec succès une campagne pour que l'American Legion reconnaisse le coquelicot comme le symbole officiel du Souvenir. Au même moment, Mme Guérin, de France, inspirée elle aussi par le poème de John McCrae et à l'exemple de Moina Michael, devint à son tour une ardente défenseuse du coquelicot comme le symbole du Souvenir de ceux qui sont morts à la guerre. Son propre organisme, l'American and French Children's League, vendit des fleurs en tissus afin de recueillir de l'argent dans le but de rétablir les régions d'Europe dévastées par la guerre.« Au champ d’honneur les coquelicots sont parsemés.. »

Le symbole familier du coquelicot doit une bonne part de sa célébrité au poète et soldat canadien John McCrae. Le poème le plus connu de McCrae, Au champ d’honneur, lui fut inspiré par les coquelicots qui poussaient le long du front occidental et auxquels il fait allusion. Le poème débute ainsi « Au champ d’honneur les coquelicots/ Sont parsemés de lot en lot/près des croix.. »
Le coquelicot rouge sang est depuis longtemps associé aux armées combattant en Europe, et ces fleurs envahissaient souvent les fosses communes laissées par les batailles. Pendant la Première Guerre mondiale, des bombardements d’artillerie intensifs bouleversèrent complètement le paysage, mêlant de la chaux aux sols crayeux. Les coquelicots s’épanouirent dans ce milieu, leur couleur flamboyant au milieu de ce terrain bombardé               www.museedelaguerre.ca/




Au champ d'honneur, les coquelicots
Sont parsemés de lot en lot
Auprès des croix; et dans l'espace
Les alouettes devenues lasses
Mêlent leurs chants au sifflement
Des obusiers.
Nous sommes morts,
Nous qui songions la veille encor'
À nos parents, à nos amis,
C'est nous qui reposons ici,
Au champ d'honneur.
À vous jeunes désabusés,
À vous de porter l'oriflamme
Et de garder au fond de l'âme
Le goût de vivre en liberté.
Acceptez le défi, sinon
Les coquelicots se faneront
Au champ d'honneur.
(Adaptation signée Jean Pariseau,)

lundi 12 septembre 2016

ON CONTINUE !!!!!!!!

http://irnwc.hypotheses.org/199


On va continuer avec le travail commencé dans ce blog.
Les élèves de 2 Bac sont partis du Lycée pour commencer leurs études universitaires.
Mon ami Bertrand Cuvelier va travailler dans le Lycée Jean Racine de Montdidier et  on va faire l'échange avec des élèves de ce lycée et le 3ème ESO de notre Section Bilangue .
C'est un voyage qui montrera les principaux lieux où Valle Inclán ( comme reporter dans la Grande Guerre) a découvert il y a un siècle l'horreur de la guerre.


Imos continuar co traballo comezado neste blog hai un ano cos alumnos de 2 bacharelato que agora están xa na Universidade.
Bertrand Cuvelier, aliado nesta idea, é Director do instituto Jean Racine de Montdidier na actualidade.
A segunda parte consistirá nun intercambio cos alumnos dese institituto e os nosos da sección bilingüe de 3º ESO.
Seguindo as pegadas de Valle como corresponsal na Guerra 14/18, faremos un percorrido polos campos de batalla que lle mostraron hai un século o horror da guerra,

Continuamos el trabajo con alumnos de la sección bilingüe de 3º ESO que harán un intercambio con el Lycée Jean Racine.

mercredi 1 juin 2016

Adolfo Caparrós Gómez de Mercado. Sobre el viaje de Valle.

http://dspace.ceu.es/bitstream/10637/5889/1/n%C2%BA10_p186_192.pdf
La media noche y La luz del día: dos obras de ValleInclán escritas al hilo de la Primera Guerra Mundial
 Adolfo Caparrós Gómez de Mercado. Profesor de lengua y literatura IES Francisco Ayala (Hoyo de Manzanares. Madrid)

jeudi 28 avril 2016

Valle devant la Grande guerre

Gallimard rescata a los grandes clásicos españoles, como «Un día de guerra», que reúne las crónicas de la contienda del autor.

Mientras las grandes editoriales españolas compiten en la compra de derechos de best sellers anglosajones, la más influyente de las editoriales francesas, Gallimard, prefiere rescatar a los grandes clásicos españoles para celebrar culturalmente la inmensa catástrofe de la Primera Guerra Mundial (1914–1918). Gallimard presenta como un acontecimiento su edición bilingüe de un clásico canónico del periodismo español, «Un día de guerra» (1916–1917), de don Ramón María del Valle-Inclán, traducido y presentado con mucho rigor por François Géal.
El periodismo moderno comienza en lengua española con las crónicas de Corpus Barga, Gaziel, Azorín y Valle-Inclán, escritas desde París, la gran mayoría, contando la primera «guerra civil entre los pueblos europeos» (Ernst Nolte dixit) del siglo XX, en un tono periodístico y literario que rompía con todos los cánones decimonónicos.
Hubo otros grandísimos periodistas y escritores (Baroja, Pla, entre tantísimos otros) que también escribieron distintos capítulos de esa misma historia, por reconstruir. Pero las obras de Corpus Barga, Gaziel, Azorín y Valle-Inclán tienen unas proporciones excepcionales.
Corpus Barga (Andrés García de la Barga y Gómez de la Serna) es uno de los patriarcas fundadores del periodismo moderno, en lengua castellana. Gaziel (Agustí Calvet) quizá sea el periodista catalán más importante del siglo XX (Pla es otra cosa). Las crónicas de Azorínsobre la guerra del 14 (publicadas en ABC) son uno de los pilares de la prosa castellana moderna. Las crónicas de Valle-Inclán, escritas en Madrid (la mayoría), tras un viaje a París y los frentes aliados de la guerra, son una encrucijada periodística y artística excepcional.Recordando esa evidencia, Gallimard ha decidido rescatar «Un día de guerra» (que da nombre a dos libros distintos y complementarios, «La media noche» y «En la luz del día») por considerar que esas crónicas sobre la primera de las grandes crisis agonales de Europa, a principios del siglo XX, son un testimonio excepcional, entre las grandes literaturas europeas de su tiempo. Dicho de otro modo, mientras los grandes grupos españoles recurren a los best sellers anglosajones para hacer caja, la gran editorial de referencia francesa prefiere defender los grandes clásicos (español, en este caso) para intentar comprender un acontecimiento histórico de primera importancia.
Mientras los clásicos españoles, testigos y cronistas de una guerra pavorosa, Corpus Barga, Gaziel, Azorín y Valle-Inclán, vegetan en un piadoso olvido, melancólico e ignorante, Gallimard se apresura a reinstalar a algunos de ellos (Valle-Inclán) en el gran canon continental de los clásicos indispensables para comprender una de las catástrofes donde se funda nuestra modernidad. En ese marco, el trabajo pedagógico de François Géal contribuye a comprender la importancia esencial de las crónicas de Valle-Inclán sobre las trincheras y los distintos frentes de la guerra.

El trabajo cultural del editor

Mientras los editores españoles se obstinan en descubrir mediterráneos alemanes, anglosajones, franceses, suecos y/o guatemaltecos, Gallimard les recuerda la tarea primera y esencial del trabajo cultural del editor: dar visibilidad de las obras de creación que nos ayudan a comprender quiénes somos, de dónde venimos y hacia dónde pudiéramos ir. Si es que vamos a alguna parte.
Leyendo originalidades suecas, parisinas o californianas, nos creemos «modernos» y esas cosas. Ofreciendo a sus lectores una edición bilingüe de una obra básica de Valle-Inclán, Gallimard propone algo bastante más profundo y esencial que «modernidades» (sic): una obra de formación cultural básica, que permite comprender el puesto deValle-Inclán entre los grandes clásicos europeos de su tiempo.
«Un día de guerra» es una obra contemporánea de «La lámpara maravillosa» (1916), la primera síntesis entre el primer Valle-Inclán (modernista, estetizante) y el Valle-Inclán definitivo del esperpento. En las trincheras y en su experiencia en un avión militar, Valle-Inclán aprendió cosas que contribuyeron a modificar su visión del mundo y su arte de escribir.
La edición francesa de «Un día de guerra» permite comprender la actualidad inmensa de tales cuestiones, no solo «estéticas» y «literarias». Los aldabonazos de las guerras que golpean en todas lasfronteras de Europa nos recuerdan a toda hora la gravedad esencial de esos dilemas morales, periodísticos y culturales, que un editor francés aconseja no olvidar, ante el sonambulismo patrio. (Juan Pedro Quiñoner)
http://www.abc.es/cultura/libros/20141231/abci-valle-inclan-201412301711.html

Première edition

Primera edición impresa de 'La media noche'

jeudi 21 avril 2016

Ce mois d'avril où Valle-Inclán est parti à la guerre.


Le 5 Janvier 1936, après une longue maladie, Ramón Maria del Valle-Inclán, l'écrivain pittoresque qui comprenait la vie comme un carnaval (dans le sens le plus noble du mot), est mort à 70 ans. De tous les épisodes de sa vie, et de tous ses écrits; on trouve une période, beaucoup plus inconnue que connue, qui l'a amené à vivre une expérience, à coup sûr, inoubliable.

La confrontation journalisme-littérature, qui résiste encore et toujours à l'envahisseur, a été l'un des principaux sujets de discussion en Espagne au cours des premières décennies du XXème siècle. Les partisans du journalisme pur se méfiaient de l' «intrusion» de la littérature dans leurs nouvelles sérieuses, tandis que d'autres croyaient en une combinaison réussie entre les deux points de vue : dans le cas d'une chronique, même si c'est une de guerre, un texte entièrement objectif qui apporte seulement des données statistiques nous semblerait froid, distant, vide; loin de ce qui a donné naissance, qui est, l'expérience directe et personnelle dans les faits que plus tard on raconte. Entre 1914 et 1918, a eu lieu l'un des événements les plus importants de notre histoire : la Première Guerre mondiale. Et en tant que tel, les journaux en ont fait écho de la même façon. Les chroniques ont mis en scène les pages et les couvertures des journaux du monde entier. Les journalistes et écrivains ont été envoyés aux coins les plus divers avec la mission d'être les témoins fidèles de ce film rude. Ensemble, il ont partagé, seulement pour quelques semaines, la boue épaisse qui inondait leurs bottes, la fumée et le brouillard qui embuaient leurs yeux, les cigarettes à minuit et cette posture voûtée, semblable à celle d'un chimpanzé, qui est devenue durant quatre ans la seule alternative à mourir d'une blessure par balle.

Parmi eux, l'œil toujours en alerte, se trouvait Ramón del Valle-Inclán (1866-1936). Mandaté par l'agence Prensa latina et par El Imparcial , médias où furent publiées Minuit et Dans la lumière du jour, les deux parties de ses chroniques ; il a vécu pendant deux mois avec la guerre et son absurdité. Il est curieux de voir commentIl craignait que l'engagement et le contrat coupent les ailes de la littérature en lui. Mais comme l'a dit Eloy Martinez en 1997: «Un homme ne peut pas être divisé entre le poète qui cherche l'expression juste de 21 heures à minuit et le journaliste indolent qui laisse tomber les mots sur les tables de rédaction comme s'ils étaient des grains de maïs. L'engagement avec la parole est un travail à temps plein, pour toute la vie".

Disposé à trouvé l'équilibre entre le journalisme, la littérature et une expérience certainement inoubliable, il quittait tous les matins la maison de la famille Chaumié, où il était descendu, à la recherche de la façon de dépeindre un jour de guerre ; idée centrale de ses textes et une partie du titre de ceux-là mêmes. Et qu'est-ce qu'un dandy comme Valle-Inclán faisait au milieu de Verdun? Survoler. Survoler les champs dévastés, les villes détruites, la nuit noire. Parce que ses chroniques ont été écrites sur la terre, mais ont été conçues dans les airs.

Sans faire beaucoup d'efforts, parce que Don Ramón les facilite, nous pouvons l'imaginer, avec le sourcil froncé, marchant entre les avions, écoutant les explications et les histoires de leurs propriétaires, tandis qu'il arpentait en silence, en réfléchissant sur comment il devrait aborder ses articles. Mais,tant qu'il n'est pas monté dans l'un d'entre eux, et n'a pas contemplé la scène dévastatrice qui était sous ses pieds, il ne l'a pas vue : elle ne se trouvait pas là-haut, entre les étoiles brillantes, la réponse à son incessant débat stylistique : ce qu'il devait écrire c'était une vision stellaire.Une vue de la guerre depuis l'éloignement physique d'un avion qui couvre des kilomètres, et la proximité de celui qui les a parcourus à pied . Ceci est le motif pour lequel tant Minuit que La lumière du jour, sont des chroniques en apparence désordonnées et décousues, puisque les chapitres qui les composent correspondent à différents scénarios et personnages. Valle-Inclán saute d'une scène dans une tranchée à raconter comment le feu et les bombes ont détruit une ville. Pièces de taille et de couleur distinctes qui forment, cependant, le même puzzle, celui d'un moment de guerre vu et vécu depuis divers coins du front français. Il fait ainsi, sans le vouloir, une critique très actuelle , puisqu'il aborde le sujet sous tous les angles et de manière très subjective, comme seule la guerre peut être contée.

Avec son modernisme et son sens du détail, Valle-Inclán a écrit la guerre et a décrit son horreur et sa peine, il a décrit la vie dans une tranchée, les attaques et les tentatives de défense, la fumée tremblante que les cigarettes dégageaient, ceux qui fuyaient une ville détruite et ceux qui imploraient une aide en face des hôpitaux. Il a décrit des généraux et des enfants, des hommes et femmes, des Allemands et des Français (en étant lui, comme la majorité des littérateurs qui ont exercé comme correspondants, partisan des Alliés).
Et après quelques mois de voyage, d'octobre 1916 à février 1917, ses chroniques ont été publiées dans El Imparcial. Mais elles ne sont pas restées là : comme c'est arrivé aux correspondances d'autres écrivains comme Vicente Blasco Ibanez,Vision stellaire de Valle-Inclán a été publié sous forme de livre, sauvé de l'oubli, réédité et annoté l'an dernier (2014) par Evohé.

El 5 de enero de 1936 Ramón María de Valle Inclán murió después de una larga enfermedad, a los 70 años. La fusión literatura-periodismo ha tenido en España gran importancia en las primeras décadas del siglo XX. Durante la Primera Guerra Mundial ,y en el medio de los muchos periodistas se hallava Valle Inclán, corresponsal de la agencia Prensa Latina y de El Imparcial, allí encontró el equilibrio entre la literatura, el periodismo y una experiencia inolvidable. Con su modernismo y su sentido del detalle describe el horror y la pena que lleva dentro (describe la vida en las trincheras, ataques defensivos...) todo esto fue publicado en El Imparcial y más tarde en Visión Estelar en forma de libro.

Álvaro Amoedo Fernández.
AQUEL ABRIL VALLE INCLAN SE FUE A LA GUERRA
El 27 de abril de 1916 Valle Inclán comenzó su viaje a Francia en tren, el cual tenía como destino la ciudad,él sin embargo, las trincheras.
Entre 1914 y 1918, tuvo lugar uno de los hechos más importantes de nuestra Historia: la Primera Guerra Mundial. Y, como tal, los periódicos hicieron eco de la misma.Allí estuvo nuestro afamado autor como periodista de guerra. Comisionado por la agencia Prensa Latina y El Imparcial, medio donde se publicaron La media noche y En la luz del día, las dos partes de sus crónicas.
Aquel abril, Valle-Inclán se fue a la guerra. Abandonó por unas semanas los cafés, las tertulias

mardi 19 avril 2016

UNA REESCRITURA DE VALLE-INCLÁN: 
LA MEDIA NOCHE DE LA PRENSA AL LIBRO

En 1916 Valle-Inclán a publié Un jour de guerre (Un día de guerra). Dans la première partie: La media noche  il y a des descriptions et de petites narrations sur la vie dans le champ de bataille pendant la Première Guerre Mondiale, conséquence de son voyage en France.
Le texte a été publié en neuf parties avec trente et quatre petits chapitres.
En 1917, en Espagne, il a publié les articles dans un livre avec le nom de La media noche. Visión estelar de un momento de guerra, accompagné d'une brève nouvelle qui fonctionne comme un prologue.
Dans La media noche, le narrateur essayera presenter tout ce qu'on observe dès tous les points de vue.

Valle-Inclán avait l'intention de reécrire leurs textes par conséquence de son perfectionnisme. D'autre part, les changements de style du auteur (le modernisme, l'expressionnisme et le grotesque) peuvent avoir été autre raison. 

Cette chronique décrit la vie dans la bataille: les tranchées, les villes détruites par la guerre et la mort.

Valle-Inclán publicou en 1916 Un día de guerra, cunha primeira parte, a media noite, de descripcións e pequenas narracións. O texto contaba con trinta e catro capítulos divididos en nove partes.

lundi 11 avril 2016

Ses amis en France

http://www.cervantesvirtual.com/bib/portal/catedravalleinclan/pcuartonivel3621.html?conten=autor&pagina=autor14.jspJacques Chaumié travaille en Espagne entre 1910 et 1914 et traduit quelques oeuvres de Valle , plus tard il lui proposera d'aller en France pour visiter le front en 1916.

jeudi 7 avril 2016

Illustrés espagnols dans la Grande Guerre

Dans 1915, le 9 juillet, il était publié le plus important texte de la aliadophilie
espagnole, le “Manifeste d'adhésion aux nations alliées”, rédigé par Ramón Pérez de Ayala avec le propos de que Espagne arrête de paraître “une nation sans écho dans les viscères du monde” après avoir proclamé sa solidarité avec la cause des alliés.
Le point de partie était très similaire celui qu'Unamuno et Gabriel Alomar avaient projeté, depuis différentes perspectives, dans les premiers mois du conflit: la neutralité du gouvernement ne pouvait pas se comprendre comme la neutralité de la nation.
Entre les signataires on peut remarquer à Unamuno, Araquistáin, Azaña, Pérez de Ayala, Palacio Valdés, Luis de Zulueta, Gregorio Marañón, Américo Castro, Gumersindo de Azcárate, Adolfo Posada, Fernando de los Ríos, Azorín, Antonio Machado, Ramiro de Maeztu, Benito Pérez Galdós, et Ramón María del Valle-Inclán, entre plusieurs autres illustrés.

Source: https://www.ucm.es/data/cont/docs/297-2014-02-13-2-14.pdf

R. Carreño

Ramón Pérez de Ayala dirixiu o "Manifesto da adhesión ás nacións aliadas" en 1915. O punto de partida foi similar ao de Unamuno e Gabriel Alomar, que consideraban que a neutralidade do goberno non podía ser considerada como a neutralidade da nación. Destacamos a Valle-Inclán entre outros moitos ilustrados.

Montserrat Pazos e Laura Girón 

mercredi 6 avril 2016

"Ramón del Valle-Inclán: los condicionantes socio-políticos del hombre y de su obra"

Dans cet article, l'auteur Luís Casteleiro Oliveiros nous explique comme les conditions socio-politiques de l'époque de Valle-Inclán ont influencé sa oeuvre, et nous raconte quelques informations sur sa vie personnelle.

Valle-Inclán a eu de la bonne chance parce que la vie politique espagnole a été calme pendant toute sa vie, quand c'était très instable la prémière moitiée du XIXème siècle. Cette situation politiquee et sociale lui a donné l'opportunité de pouvoir publier toute sa oeuvre sans censure.

Malgré Valle-Inclán était un magicien avec les mots en espagnol, il avait des problèmes avec des autres langues et il n'aimait pas voyager. C'est pour ça qu'il n'a voyagé pas à l'étranger dans beaucoup d'occasions, sauf quand il est allé au Mexique, où on parle l'espagnol, à l'Italie et en France, où il était  peu de mois. Comme l'auteur dit dans le texte:

"El mismo Valle-Inclán que en las animadas tertulias de los cafés madrileños se elevaba sobre un resplandeciente festival de palabras, en cuanto pasaba el Pirineo se encogía y quedaba mustio, como una planta desarraigada"


Jorge García Moldes et María Conde Aboy
 (Extraído del texto de Luís Casteleiro Oliveiros)



BIBLIOGRAPHIE COMMENTÉE.

Nous remecions à Mme Andrea Reyes del Prado (http://www.audreyrdp.com/?p=498)  qui nous a envoyé cette bibliographie pour nous aider à mieux comprendre cette oeuvre de Valle Inclán. Nous avons lu son travail sur ce roman et nous l'avions trouvé très intéressant.

 VALLE-INCLÁN, Ramón del. Narrativa completa (Volumen I). Introducción de Darío Villanueva. Madrid: Espasa Libros, 2010.

"En la Primera Guerra Mundial visita como testigo ejemplar el frente de Verdún, comisionado por Prensa Latina y El Imparcial, periódico donde a modo de folletín publicará La media noche. Visión estelar de un momento de guerra (1917) y En la luz del día. Ambas presagian la creación de género tan novedoso como el esperpento, aquella deformación objetiva de la realidad; y que redondeará más tarde en Luces de Bohemia, del que por cierto y a modo de homenaje todos los finales de marzo sus lectores nos reunimos por el Madrid más castizo reproduciendo el alucinatorio y noctámbulo recorrido de Max Estrella." Darío Villanueva (http://www.elimparcial.es/noticia/80868/Los-Lunes-de-El-Imparcial/ )

Darío Villanueva a dit que dans la Première Guerre Mondiale que Valle Inclán a visité en tant que témoin devant exemplaire de Verdún, commandée par Prensa Latina et le journal El Imparcial dans lequel publier mode série "La media noche" avec une vision stellaire d'un temps de guerre (1917) et à la lumière du jour. Les deux préfigurent la création du genre du nouveau roman comme le grotesque, que la distorsion de la réalité objective et les lumières arrondies plus tard en "Luces de Bohemia", qui par ailleurs et comme un hommage à tous ses lecteurs la fin de Mars, et en faisant une promenade dans le Madrid le plus traditionnel et le plus hallucinant.
 


 Montserrat Pazos Paredes

vendredi 18 mars 2016

LE FIGARO: UN MANIFESTE DES INTELLECTUELS ESPAGNOLS.


Centenaire de la Première Guerre mondiale 1914 – 1918
 www.bsb.univ-paris3.fr/images/.../biblio_14_18.pdf

Auteurs de langue espagnole sur la Grande Guerre

Auteurs de langue espagnole
Officiellement neutre, l’Espagne restera à l’écart de la première
guerre mondiale. L’opinion publique espagnole se divisera entre
les « aliadófilos » et les « germanófilos ». Peu d’auteurs espagnols
écriront sur la Grande guerre. Deux se distinguent dans cette
bibliographie, Blasco Ibáñez Vicente, qui s’était rendu sur les
champs de bataille avant de publier son ouvrage Les quatre
cavaliers de l’apocalypse et Ramón del Valle-Inclán, reporter en
1916 sur le front franco-allemand pour El imparcial. Tout comme
ce dernier, d’autres écrivains espagnols furent correspondants de
guerre pour des journaux avant de publier leurs témoignages et
expérience de la guerre : Azorín, correspondant à Paris pour le
quotidien ABC et Gaziel, auteur de chroniques sur le Paris de la
Grande Guerre pour la revue La Vanguardia.
Blasco Ibáñez écrit en 1916 le roman le
plus connu sur la guerre 14-18 à savoir Los
cuatro jinetes del Apocalipsis. Il y décrit la
vie et les souffrances de la Grande guerre
au travers l’histoire d’une famille. Plus tard,
il publie Mare nostrum (1918) sur la guerre
en mer, plus précisément en Méditerranée
et Los enemigos de la mujer (1919) sur la
guerre à l’arrière.
Pendant la première guerre mondiale,
Ramón del Valle-Inclán appuie les alliés.
Correspondant pour El imparcial, il
parcourt les fronts de batailles d’Alsace
et des Vosges pendant deux mois. Il en
rapporta des Crónicas, espérant réveiller
les consciences espagnoles. Une fois
remaniées, elles deviendront deux livres :
La media noche (1916) et En la luz del
día (1917) évoquant les conditions de vie des combattants et la
souffrance des civils à l’arrière.
Il sera à l’initiative avec Pérez de Ayala du « Manifiesto de los
intelectuales » (Manifeste des intellectuels espagnols) publié le 5
juillet 1915 dans le quotidien El Liberal et reproduit le jour même
intégralement dans certains journaux français comme Le Figaro.
Les signataires de ce manifeste destiné à appuyer les alliés sont
professeurs, compositeurs de musique, peintres, sculpteurs et
écrivains espagnols.
Écrivain espagnol, Azorín prend parti
pour la France dès le début de la Grande
Guerre. En mai 1918, il est correspondant
de guerre à Paris pour le quotidien ABC. De
retour en Espagne, il publie Entre España
y Francia (1917) et París bombardeado
(1919)

VALLE-INCLÁN Ramón del, Un jour de guerre vu des étoiles,
Paris : Gallimard, 2014, p. (Folio bilingue)
Ouvrage comprenant les livres La media noche et En la luz del día :
VALLE-INCLÁN Ramón del, Flor de santidad ; La media noche,
Madrid : Espasa-Calpe, 1995, 267 p. (Colección Nueva
Austral A375 Literatura)
 Suivez la BIU Sainte-Barbe sur :
twitter.com/BIUSainteBarbe
facebook.com/BibliothequeSainteBarbe
www.bsb.univ-paris3.fr

M. Alonso.


España mantívose nutra na Primeira Guerra Mundial. A opinión pública española dividirase entre os aliadófilos e os xermanófilos. Poucos dos autores españois escribiron sobre esta guerra, pero podemos destacar a Blasco Ibáñez Vicente e Ramón del Valle Inclán. Outros autores foron xornalistas e publicaron as testemuñas e a súa experiencia na guerra.
Montserrat Pazos e Laura Girón

Valle Inclán nous parle de ce livre. (VIDÉO)



Je m’appelle Ramón Mª del Valle Inclán et j’ai vécu entre 1866 et 1936.
Je suis galicien.
Je suis un grand écrivain - j’ai fait partie de la génération de 98- et tout le monde connait mes œuvres littéraires.
Donc je suis ici pour vous dire que je suis allé en France en 1916, pendant la Première Guerre Mondiale,  comme reporter, et j’étais invité par le gouvernement français à visiter le front
Mon travail comme journaliste était bien différent de ce que je faisais c’est pour ça que dans le livre que j’ai écrit pour raconter tout ce que j’ai vu dans le front , mais ce n’est pas exactement un recueil d’articles ( apparus à L'Imparcial entre octobre et décembre 1916)mais un récit avec un air de roman:
Un jour de guerre vu des étoiles"
Je n'étais pas contre la religion: pendant la Grande Guerre j'étais du côté des alliés en considérant que la France préservait le christianisme, tandis que l'Allemande menaçait avec le paganisme.
J'ai montré mon courage en 1916 en visitant en France le front allié. J'étais proche de l'ennemi et j'ai survolé la zone. C'était si choquant. Je n'ai jamais fabulé ni je me suis mis le protagoniste.
J'étais pour les alliés et cet appui m'a valu l'invitation du gouvernement français pour visiter le front allié de Verdun en 1916.

Chámome Ramón Mª del Valle Inclán e vivín entre o 1866 e 1936.Eu son galego.Son un gran escritor, fun parte da xeración do 98 e todo o mundo coñece as miñas obras literarias.
Así pois, estou aquí para dicirvos que fun a Francia en 1916 durante a primeira guerra mundial, como reporteiro e fun enviado polo goberno francés a visitar o fronte.
O meu traballo como xornalista era moi diferente do que eu facía e por iso que no libro que escribín para contar todo o que vín no fronte, mais non é exactamente un conxunto de artigos (aparecidos no Imparcial entre outubro e decembro de 1916) pero si un conto con aire de novela: "Un día de guerra visto dende as estrelas".
Eu non estaba en contra da relixión: durante a primeira guerra mundial eu estaba do lado dos aliados considerando que Francia conservara o cristianismo, mentres que Alemaña ameazaba co paganismo.
Demostrei o meu valor en 1916 visitando en Francia a fronte aliada.
Estaba preto do inimigo e sobrevoei a zona. Foi chocante. Eu xamais esaxerei nin me fixen o protagonista. Estaba a favor dos aliados e este apoio serviume para gañar a invitación do goberno francés para visitar a fronte aliada de Verdún neste mesmo ano.
No es verdad que fuera antirreligioso: “Durante la I Guerra estuvo del lado de los aliados al considerar que Francia preservaba el cristianismo, mientras Alemania amenazaba con el paganismo”.
No todo fue mitografía. Demostró su valentía en 1916 al visitar en Francia el frente aliado. Estuvo cerca del enemigo y sobrevoló la zona. Quedó muy impactado. Sobre esa experiencia nunca fabuló, ni se puso de protagonista.
( Manuel Alberca)
La militancia en pro de los aliados durante la primera guerra mundial. Este apoyo a la causa aliada hizo que el gobierno francés lo invitara a visitar el frente de Verdún en 1916. Valle pronunció en tal circunstancia un discurso antialemán y recogió sus impresiones en La media noche (1917), que definió como una "visión estelar de un momento de guerra".  (Fuente : www.mcnbiografias.com).
Le militantisme pour les Alliés pendant la Première Guerre mondiale. Ce soutien à la cause des Alliés a fait le gouvernement français invité à visiter le front de Verdun en 1916. Valle a prononcé dans telles circonstances  un discours contre les Allemands et a recueilli ses impressions en "Minuit" (1917), qu'il définit comme une "vue stellaire temps de guerre ".

La escritura modernista de Valle-Inclán: Orgía de colores :José Manuel Pereiro Otero nous offre un très intéressant étude sur ce livre. L'auteur le situe entre deux étapes littéraires de Valle qui sont en rapport entre l'évolution de ses idées politiques.
www.elpasajero.com/Biografia.htm : En 1915 Valle-Inclán se situe plus proche des alliés et veut rompre avec les carlites qui sont plutôt germanophiles.

Son ami et écrivain français Jacques Chaumié l'invite à Paris pour visiter le front Il veut être un spectateur de la Grande Guerre et en mai et juin 1916;  il visite tous ses lieux: Alsace, les Vosges, la Champagne, Reims, Flandes et Verdun. Il habite avec les soldats francais et il survole le front allemand Quand il revient en galice, il commence à raconter tout ce qu'il a vu, d'abord dans le journal de Madrid . El Imparcial  et plus tard dans ce livre dont on parle.

http://cultura.elpais.com/cultura/2014/07/24/babelia/1406202356_158955.html
Darío Villanueva explique que Valle-Inclán raconte en 1916 cette guerre , la première guerre  que l'on peut considérer moderne. Il a une  expérience directe puis qu'il a été là, de ses misères et surtout de la  destruction. Et il veut que sa façon de regarder tout ça c'est depuis les étoiles, comme les dieux et les pilotes "les héros de l'ancienne  tragedie antigua du vertige erotique.”.

jeudi 17 mars 2016

Argonne.

Valle-Inclán cite aussi la région d'Argonne au page 117. Argonne est une région naturelle du nord de la France où en 1915 a eu lieu la Bataille de Champagne. Cette bataille a eu une durée de deux semaines et a enfronté aux troupes allemandes contre les troupes françaises pendant la Grande Guerre. Les conséquences ont été terribles pour les troupes françaises avec 145.000 pertes humaines.

A Batalla de Champagne tivo lugar na rexión natural francesa de Argonne en 1915 e tivo unhas consecuencias terríbeis para os franceses con 145.000 mortos.


Sergio Martínez Martínez / Marcos Peso Tilve

Un manifesto dos intelectuais españois sobre a Gran Guerra.

5 de xullo de 1916

Le Figaro

Un manifesto dos intelectuais españois

España é o país onde a propaganda alemá tivo un impacto máis violento dende o comezo da guerra. Porén, neste lugar, as simpatías cara a Francia aínda mantéñense vivas e son numerosas. Aquí teñen unha clara proba. Isto é un manifesto dos intelectuais españois pertencentes aos partidos máis opostos na base dos que figuran os nomes máis recoñecidos. Terá entre os Aliados, e tamén noutros países, unha gran repercusión.
Elevamos a voz para transmitir a nosa mensaxe con modestia e sinxeleza como españois e como homes. Non sería correcto neste gran momento da historia universal que España se afastase do curso do tempo, ficando aparte coma unha rocha estéril incapaz de sentir as inquedanzas do porvir e do que ditan a razón e a ética. Isto sería unha humillación que nestes momentos de profunda gravidade, de intenso sentimento relixioso, cando a especia humana sofre sen límite xerando unha solidariedade máis reforzada e máis fraternal, España, pola pusilanimidade dos responsábeis políticos, aparece coma un pobo sen eco nas entrañas do mundo. E sería peor aínda que estes ecos propagasen a acritude de voces inflamadas por cegas paixóns e as ultraxes de plumas e gacetas mercenarias!
Nós, sen outro título que as nosas vidas silenciosas, consagradas ás puras actividades do espírito, sentimos que, para servir á patria e ser un cidadán honesto e útil, fai falla ser un home honesto e útil para todos os pobos. E así estamos seguros de cumplir un deber de españois e de homes, declarando que participamos coa plenitude do noso corazón e do noso xuízo no conflicto que atiza o mundo.
Solidarizámonos coa causa dos Aliados dado que representa os ideais de xustiza, os únicos que poden coincidir cos intereses políticos máis profundos e dominantes da nación. A nosa conciencia rexeita, alí onde se manifesten, eses feitos que degradan a dignidade humana e o respeto que os homes deben gardarse na loita máis encarnizada.
[...]
Destruirá os fermentos de egoísmo, de dominación e de atrevida violencia, responsábeis do desastre e afirmará a base dunha nova fraternidade internacional, onde a forza cumplirá a súa función de garantizar razón e xustiza.


Sergio Martínez Martínez / Marcos Peso Tilve
LA VILLE DE THANN

 "Entre Thann et Metzeral, de temps en temps le cannon s'emballe rageusemet, mais bientôt il retombe dans sa mesure lente et obstinée"  (Page 67).

Cette ville est située dans la région française d'Alsace.



Pendant la Première Guerre Mondiale, il y a eu une bataille apellée Bataille Mulhouse qui s'est déroulée du 7 au 10 août 1914, entre la Ie Armée française et la VIIeArmée allemande, avec 7 000 pertes.
Dans cette ville il y a plusieurs  monuments en mémoire de la Grande Guerre. Certains sont:

Monument à la 66ème Division "L'Alsacienne"

Les Diables Bleus (la Division d'Alsace) ont lutté  pour conserver les territoires alsaciens et surtout pour la capitale de l'Alsace Française : Thann.









Monument Chardon

"A la mémoire d'Henri Chardon sous-lieutenant au 15e Chasseurs à Pied tué le 22 août 1918 et en souvenir de tous ceux qui sont tombés à l'aube de la victoire".

 





Plaque du 133ème Régiment d'Infanterie

"A la mémoire du 133e RI premier régiment français entré à Thann le 7 août 1914 pour libérer l'Alsace après 44 années d'annexion allemande et à celle de ses soldats tombés lors des combats des 9 et 10 août 1914".







Plaque des combattants inhumés à Thann en 1914/1918


 

 RESUMO

Na cidade Thann, situada na rexión fracesa de Alsacia, houbo unha batalla chamada Batalla de Mulhouse.
Hoxe hai varios monumentos na honra da Gran Guerra.
            
                                                              Diego Rivera Barato  2ºBach A
                                                              Nuria Casas Suárez   2ºBach C

Valle-Inclán en France ( lieux visités)

Pendant la Grande Guerre, le journaliste espagnol Valle-Inclán a été dans les villes françaises de Arras, Saint-Denis, Reims, Verdun et Massiges. Il a visité aussi des autres villes dans les régions de la Picardie et d'Argonne, où il a vu la rivière Yser. Voilà la carte de son voyage:



Jorge García Moldes et María Conde Aboy

Durante a Gran Guerra, o xornalista español Valle Inclán estivo nas vilas francesas de Arras, Saint-Denis, Reims, Verdun e Massiges. Visitou tamén outras vilas nas rexións da Picardie e de Argonne, onde viu a riveira
 do Yser. Arriba o mapa da viaxe.

Montserrat Pazos e Laura Girón


Valle Inclán dans la Grande Guerre


L'Espagne était un pays neutre dans la Grande Guerre, mais la littérature sur cela a été très importante, on souligne Valle Inclán en particulier par son voyage à la même guerre comme journaliste.
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Il écrivait pour le côté allié aussi que les grands intellectuels. Par contre, les "carlistas", personnes qui ont fait une autre guerre à l'Espagne, étaient germanophiles. Ce fait sera une raison pour écrire son livre "Sonata de Invierno".

Resultado de imagen de fotos de valle inclanIl raconte en 1916 l'histoire  d'une grande guerre, très moderne. En première personne il voit la misère, la destruction. Pour regarder mieux ces choses il vole en avion et il reflète les événements qui se passent là-bas.

Álvaro Amoedo.





É moi importante o papel de Valle-Inclán como xornalista na guerra. Escribiu para o bando aliado e en contra dos carlistas, que eran germanófilos "Sonata de Invierno". Conta en primeira persoa a miseria e destrución alí vivida.

Montserrat Pazos e Laura Girón

VALLE INCLÁN, CORRESPONDANT DE LA GUERRE 14-18

À cause du troisième centenaire de la Royale Académie Espagnole, José Luis Gómez a organisé le cycle "Cómicos de la lengua", accompagné par Darío Villanueva. Celui qui lit le livre "Minuit, vu des étoiles d'un moment de guerre", écrit par Valle pendant la Grande Guerre en 1916.
Il ne veut pas avoir seulement un point de vue d'espace et du temps, il veut une vision collective des faits et pour ça il s'élève pour regarder cette guerre avec un vu dès les étoiles. Cette idée lui est venue quand il accompagne pendant des jours à deux pilotes survolant le front pendant la nuit en France.
Son but a été écrit un livre qui s'appellerait "Un día de guerra", mais il ne le finit pas. Il voulait raconter la guerre à partir de différents scénarios. Donc, le livre qu'il a écrit, est "La media noche", qui raconte seulement  la vie huit ou neuve heures.
José Luis Gómez a fait une sélection des 40 extraits qui forment l'ouvre et il faisait que le public pouvait avoir une vision de la guerre dès les étoiles.
Villanueva disait que "La vision stellaire" a été une idée qui a fait à Valle Inclán un des auteurs les plus rénovateurs du roman.




 José Luis Gómez organizou o ciclo "Cómicos da lingua" acompañado por Darío Villanueva, quen destaca a visión estelar de Valle-Inclán durante a Guerra Mundial no seu libro "La media noche".
Montserrat Pazos e Laura Girón